A la Casa Nicaragua,
une assiette pour notre santé, celle de la planète et celle de tous ses habitants,
un geste quotidien et politique
Dans le cadre de la problématique des interdépendances Nord/Sud, nous avons été amené-e-s à réfléchir à la question de la souveraineté alimentaire.
Les paysans du Nord et du Sud se rejoignent: tous sont confrontés à l’envahissement de l’agriculture industrielle qui détruit l’agriculture paysanne et familiale.
Leur alternative : une agroécologie à taille humaine, bio, diversifiée, privilégiant les circuits courts. Au Nicaragua, nos partenaires de l’Université Paysanne (UNICAM) soutiennent ces techniques alternatives de cultures vivrières qui apportent des solutions à la malnutrition, aux carences alimentaires liées aux monocultures intensives.
A La Casa Nicaragua, nous cherchons à partager avec vous une cuisine BIO, LOCALE et de SAISON, avec des accents du Sud.
C’est à apprivoiser parce que nos habitudes alimentaires sont très ancrées et affectives. Quand nous suivons notre rythme, cela peut se vivre comme une aventure : on découvre de nouveaux lieux, d’achat et de production, de nouvelles relations avec d’autres consommateurs, des producteurs. On expérimente de nouvelles recettes, d’autres goûts. On réveille une créativité culinaire…
C’est alors la porte d’entrée vers un «chamboulement » bénéfique, une réflexion sur le monde dans lequel nous voulons vivre et celui dont hériteront les générations futures.
Nous développons aussi notre éventail de recettes végétariennes
Manger de la viande autrement, d’une manière plus qualitative que quantitative… C’est bon pour la santé, l’environnement, la solidarité avec les habitants du Sud. De la viande élevée écologiquement, des rations plus petites, des jours sans viande, le plaisir de découvrir la variété multiculturelle des légumineuses, ces protéines végétales…
Beaucoup d’initiatives à Liège et par le monde… Des circuits courts, des groupes d’achats collectifs (GAC), des magasins bio, les nouvelles coopératives qui surgissent…